" Nous allons ici et là ,
à la recherche d ' une joie partout en miettes ,
et le sautillement du moineau
est notre seule chance de goûter à Dieu éparpillé sur terre ... "
Ch. Bobin
- L' éloignement du monde -
C. Bobin sait aller à l'essentiel…
RépondreSupprimerTrès belle photo
Il est vrai que ces jours-ci notre joie est bien éparpillée... Heureusement, Ch. Robin... des bois (pardon Bobin) nous donne la joie de voir les oiseaux sautiller pour manger les miettes de notre joie perdue, et nous redonner le plaisir et la joie de les voir heureux eux !
RépondreSupprimerTon moineau est un touchant oisillon qui nous apporte beaucoup de bonheur par cette photo extraordinaire .
RépondreSupprimerLa citation est en parfaite harmonie , quelle sagesse.
Douce soirée, bon dimanche, bises Mathilde
Un "ptit jeune" qui regarde le monde....
RépondreSupprimerJe viens admirer ta superbe image et me réjouir de Bobin. De quoi repartir heureuse en revenant de chez toi !
RépondreSupprimerSchmoutzy Mathilde !!!
PS
Il fait gris, il a neigeoté ce matin mais le petit peu de blanc est reparti, c'est mieux pour les gens qui font la route. Pour nous rester au chaud c'est ce qu'il y a de mieux :-)
Chez nous c' est triste et plein de gadoue...on est bien au coin du feu avec un bon bouquin ...
RépondreSupprimerEn ce moment " Le rossignol se tait à l' aube " d' Elsa Triolet...un régal ..:-)
Merci Mathilde pour ta si belle photo qui habille merveilleusement les mots de Bobin dans l'éloignement du monde....
RépondreSupprimerBisous.
Den
De Bobin, j'ai aimé (adoré ?) La folle allure (livre lu et relu - identification totale à l'héroïne) et La part manquante qui m'a tendrement accompagnée durant toute la maladie d'Alzheimer de mon père.
RépondreSupprimerJ'avais prêté tous ses autres livres (ceux dont l'écriture est un peu céleste...) à une jeune amie potière. Mais vivre de la poterie aujourd'hui ?
Chaque fois que nous nous rencontrions, elle me disait tout ce que la lecture de Bobin lui apportait, qu'il lui était devenu nécessaire comme l'eau.
Alors un jour où elle me rapportait la pile, je la lui ai offerte.
J'aime autant la photo (par ce que l'oiseau a de fragile) que le texte.
Merveilleuse association.
C'est tout toi...
Ces petits êtres sensibles sont comme le pensait Saint François porteurs de tant d'émotions et d'innocence, prenons exemple sur eux, j'ai tant de plaisir à les voir vivre dans le jardin et à les gâter bien sûr !
RépondreSupprimerMerci pour cette jolie page Mathilde